• Nous sommes dans les starting-blocks. Voilà quelques semaines que mon comparse et moi pensons à ce que nous pourrions bien faire pour la saison deux de notre émission consacrée aux fictions télé et qui avait eu un joli succès l'été dernier sur France Culture. L'idée de parler de la fiction au sens large mais pas seulement des produits anglo-saxonnes s'est imposée. Nous allons donc creuser un peu nos savoirs respectifs sur les télé québecquoises, sud-américaines, anglaises (quand même) et surtout françaises. On en reparlera. c'est en cherchant des thèmes qu'on s'aperçoit que la plupart des médias se concentrent sur dix, quinze oeuvres en ignorant la plus grande masse des séries restantes. Et pourtant... Pour l'instant, rien n'est officiel et toutes nos jolies réflexions pourraient finalement trouver refuge sur ce blog. On en reparlera, je pense.
• Aujourd'hui, relecture du 52eme épisode de "Déjà Vu", le dernier a priori. C'est bizarre. Perso, j'éprouve une sensation qui se situe entre le pincement au coeur et le soulagement. Notre Alex a vécu bien des aventures, certaines assez poussées pour les normes de la fiction jeunesse française, d'autres agréablement surprenantes, car apportées par d'autres équipes de scénaristes. Il y a aussi les déceptions. De certaines mises en scène (même si le tournage alloué à ce genre de programme se compte en dizaine d'heures, soit quasiment rien), de certaines situations qui ne sont pas celles que nous avions dessiné dans la Bible du programme. Cette première création a vraiment été l'occasion de voir combien le scénariste est en début de chaîne mais combien personne ne l'attend à l'autre bout (une situation qui peut connaître parfois des situations meilleures, "Le village français" de Frederic Krivine va forcément ouvrir des brèches - on en reparlera je pense).
Parfois, je me prends à rêver de ce qu'aurait donné "DéjàVu" produite avec les moyens et les comédiens de "Veronica Mars" ou de "Friday Night Lights"... Bon, là, je me réveille car j'ai encore trente pages à lire. Et puis après, on passe à autre chose. Encore bravo David !
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